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    Modèle de lettre à envoyer en urgence aux responsables politiques internationaux :

    DETENTION INHUMAINE DE MARCEL VERVLOESEM

     

    DIRIGEANTS A COMPTER DU 07/11/09

     

    NE DEVENEZ PAS DES CRIMINELS POTENTIELS

     

    Les pressions et l’inertie du PSD, mènent Marcel Vervloesem vers le suicide

    Marcel Vervloesem, qui ne s’est jamais plaint de douleurs, malgré toutes les graves pathologies, dit à présent qu’il souffre constamment de douleurs aiguës. La dernière étape étant sa mort programmée en prison, le ministère de la justice belge va jusqu’à lui refuser les soins, pour atténuer ses souffrances. Le comité de l’euthanasie a  refusé de remplir sa fonction, qui consiste à préconiser les soins pour atténuer les douleurs insoutenables inhérentes aux maladies terminales. 

    Marcel a écrit à l’association Tevirepedo, qu’il ne peut plus supporter les incessantes manœuvres de l’administration de la justice pour l’empêcher de bénéficier de ses droits à soigner son cancer, son cœur, ses reins et son diabète ainsi que son anémie comme tout citoyen européen. Il n’y a pas droit, car marqué à la culotte de l’infamie, pour avoir eu l’outrecuidance de dénoncer depuis 11 ans les 90 000 petites victimes du réseau pédocriminel Zandvoort. Il n’a jamais plié, ni aux cabales judiciaires, ni aux  pressions, aux menaces, même l’expulsion de sa maison, pour prétendre justifier de lui refuser la libération conditionnelle. 

    Pour lui il n’y aura ni congé pénitentiaire, ni de libération pour raison de santé, ni libération conditionnelle pour bonne conduite, ni bracelet électronique car il gêne la pédocriminalité organisée en Belgique, semble t’il protégée par les plus hautes instances de ce petit pays. Pour lui il n’y aura pas de soins, à moins qu’il n’accepte de retourner à la prison de Bruges enchaîné comme un chien dans un fourgon-cage pendant 12h, sous prétexte de lui faire un cathétérisme cardiaque qui pourrait être fait près de la prison de Turnhout où il se trouve. Le seul objectif était de le maintenir à Bruges, où il a été soumis à la torture. 

    Il a subi les chantages aux soins les plus inhumains pour faire taire les sites Internet qui ne se soumettent pas à la censure et le soutiennent. Le comble du ridicule  a été atteint lorsqu’un jugement a refusé une libération sous contrôle électronique parce que ces sites dénonçant la justice étaient gérés au premier étage du lieu où il aurait pu être accueilli pour y être soigné… 

    Il a été incarcéré contre l’avis médical de neuf médecins dont des experts de justice étant donné ses antécédents de santé: sept opérations majeures en ces dix dernières années: trois à cœur ouvert dont pour un double pontage cardiaque. Une quatrième opération au pancréas, une cinquième aux reins. Une sixième opération pour deux cancers et une septième pour un troisième cancer, en l’espace de dix mois. 

    Les tortures et refus de soins l’ont emmené six hospitalisations durant six premiers mois de son incarcération : cinq fois à l’hôpital universitaire St Jean de Bruges et une fois à l’hôpital St Élisabeth de Turnhout. 

    * 27 jours de cellule d’isolation au centre médical
    * 2 jours soins intensifs: coma diabétique – réhydratation
    * 5 jours en soins intensifs coma diabétique, cardiologie et leucémie (Turnhout)
    * 1 demande d’euthanasie, suivie de tentative de suicide
    * 1 opération cathétérisme cardiaque
    * 1 opération des reins
    * 1 opération hémorragie interne
    * 5 dialyses
    * 1 opération hémorragie
    * 1 amputation de gangrène
    * 4 transfusions de sang (3 litres)
    * 2ieme tentative de suicide
    * 1 opération pour quadruple cautérisation cardiaque
     

    Toutes les instances Belges et une centaine de parlementaires européens ont été informées de la gravité de sa situation de santé et des chantages exercées sur lui.  Certains ont renvoyé les mails trois mois plus tard avec la mention « non lu » de l’appel à l’aide :  « alerte traitements indignes et inhumains d’un détenu belge » . Il n’y a eu qu’une réponse laconique et administrative de la présidente de la sous-commission des droits de l’homme, qui nous a informé que ses prérogatives étaient extérieures à l’Union et que ce problème relevait de l’État qui devait appliquer la Convention Européenne des Droits de l’homme. 

    Mais pour le « chasseur de pédophiles autoproclamé » comme l’a si minablement appelé la presse belge en son temps « pour hurler avec les loups » et qui se tait aujourd’hui en cœur, il n’y a pas de droit sauf celui de réclamer que la mort abrège ses souffrances…

    Les organisations, qui n’ont d’humanitaire que le nom, n’interviennent qu’à partir du moment où cela n’est pas dangereux ni pour elles-mêmes, ni pour les puissants de ce monde. Nous n’avons eut aucune réponse des divers FIDH, LDH, CEDH, Amnesty International, CICR ou OIP. 

    Le service « psychosocial »  ou PSD a sciemment refusé d’envoyer son rapport en temps et en heure pour permettre à Marcel Vervloesem de bénéficier d’un congé et d’une libération conditionnelle. Un psychologue, dont on peut s’interroger sur le respect qu’il a de sa déontologie, lui aurait dit que le jugement devant décider de sa libération pour bonne conduite en décembre, serait reporté du fait que l’affaire était  « trop sensible pour les médias ». 

    De même, ce psychologue aurait reçu, avec le psychiatre Delander, le pouvoir de l’administration de lui interdire tout courrier, communication téléphonique, visite et même de congé pénitentiaire, durant les trois prochaines années, si les « crapules » susmentionnées continuent à publier leurs articles. Ces pressions, émanant de la justice belge qui semble bien instrumentaliser des professionnels de la santé, dépassent l’entendement dans un pays qui se veut démocratique. 

    Ce psychologue prénommé Erwin a dit à Marcel qu’il ne sera libéré, que s’il avoue les viols, notamment le viol de l’actuel Président du Conseil de la Police, que tous les tribunaux belges ont reconnus inventés. 

    Toutes ces manœuvres ont pour but de le transférer à la prison de Bruges où il sera maintenu jusqu’au jugement dans l’optique d’obtenir encore une fois le refus de libération de Marcel Vervloesem pour  l’y laisser mourir. 

    Imaginez cet homme extrêmement malade recevant ce genre de nouvelles de la part d’un homme censé lui apporter un peu d’humanité et de compréhension, dans cet océan de cruauté, n’aurait il pas envie d’en finir ? 

    On constate quelle responsabilité porte les intervenants sur la décision d’en finir de Marcel Vervloesem quant on sait que cette année n’a été qu’une succession de pressions et manœuvres digne des pays les plus totalitaires et des époques les plus noires de notre histoire. Quant on enlève à un homme tout espoir de mieux être dans sa chair alors on le condamne à vouloir désirer la mort comme une délivrance.. 

    Nous ne voulons pas que Marcel Vervloesem se suicide et nous ne lui souhaitons pas d’arriver à ses fins car c’est bien ce que voudrait l’ensemble des personnes qui ne cessent de contrecarrer l’exécution des demandes de droit qui sont faites pour ce détenu, ce qui prolonge sa détention et mette sa vie en extrême danger. Mais de toute manière nous continuerons à nous battre pour la protection des témoins de la criminalité organisée en Belgique comme dans les autres pays d’Europe quoiqu’il arrive à Marcel Vervloesem et pour faire connaître l’enfer que réservent aux victimes et aux témoins des réseaux pédocriminels ceux qui s’en font les complices quant ils se trouvent à des postes de pouvoir. 

    LES AMIS DE L’association MARCEL VERVLOESEM-TEVIREPEDO 

     

    NOM : 

    PRENOM :

    FONCTION SOCIALE ET/OU PAYS :

    LISTE DES DIRIGEANTS INTERNATIONAUX A CONTACTER :

    ADRESSES DES DESTINATAIRES POUR ENVOYER LA LETTRE:


    DIRECTION FONCTION ADRESSE EMAIL

    Mr BENSAIDA TAOUFIK Directeur de l’aide à jeunesse et du service de protection judiciaire de Mons (Belgique)

    taoufik.bensaida@cfwb.be
    spj.mons@cfwb.be

    Mr DE VOS Bernard Délégué général des droits et des intérets des enfants (Belgique)
    dgde@cfwb.be

    Mme KLOECK Kristine Directeur général de Child Focus (Belgique)
    110@childfocus.org

    Mr BARROT Jacques Vice Président de la Commission Européenne
    jacques.barrot@ec.europa.eu

    Mr DECLERCK Stefaan Ministre de la Justice (Belgique)
    stefaan.declerck@just.fgov.be

    Mme LAMBOT Laetitia Secrétariat de la Commission de la Déontologie, Direction générale de l’Aide à la jeunesse (Belgique)
    laetitia.lambot@cfwb.be

    Mme ONKELINX Laurette Vice-Première Ministre et Ministre des Affaires sociales et de la Santé (Belgique)
    info@laurette-onkelinx.be

    Mr MELCHIOR Wathelet adjoint au Premier Ministre et Secrétaire d’Etat à la Politique des familles
    info@wathelet.fed.be

    Mr DE GUCHT Karel Vice-Premier ministre et Ministre des Affaires étrangères
    info@diplobel.fed.be

    Mme Navanethem Pillay Haut-Commissaire aux Droits de l’Homme
    infodesk@ohchr.org

    UNICEF
    cbu@unicef.be
    brussels@unicef.org

    AMNESTY INTERNATIONAL
    amnestynews@amnesty.fr
    webmestre@amnesty.fr

    MEDIATEUR EUROPEEN
    EO@ombudsman.europa.eu

    Mme Dominique ROZENBERG Direction de la Ligue des Droits de l’Homme (Belgique)
    drozenberg@liguedh.be
    ldh@liguedh.be

    Mr JUAN MIGUEL PETIT Rapporteur du respect des droits de l’enfant contre l’exploitation sexuelle et la pédo-criminalité
    urgent-action@ohchr.org
    tb-petitions@ohchr.org
    1503@ohchr.org

    Mr Hans-Gert Pöttering Président du Parlement Européen

    epbrussels@europarl.europa.eu

    Mme Roseline DEMOUSTIER Directeur général du Service Public Fédéral de la Justice (Belgique)

    roseline.demoustier@just.fgov.be

    Mr Jean GAUTIER Direction générale des affaires Consulaires; Ministère des Affaires Etrangères

    jean.gautier@diplobel.fed.be

    Mr Andrew DRZEMCZEWSKI Commission des questions juridiques et des droits de l’homme de l’Assemblée Parlementaire

    andrew.drzemczewski@coe.int

    Mr P. Nikiforos DIAMANDOUROS Médiateur Européen

    eo@ombudsman.europa.eu

    Secrétariat Conseil des Barreaux Européens

    cdcj@coe.int

    Mme Josiane PAUL Chef de service de la Direction générale
    De la Législation et des Libertés et Droits
    Fondamentaux; Autorité centrale
    d’entraide judiciare Internazionale
    en matière civile

    rapt-parental@just.fgov.be
    kinderontvoering@just.fgov.be

    Mr Luis MORENO-OCAMPO Procureur de la Cour Pénale Internationale

    otp.informationdesk@icc-cpi.int

    AJE, Association des journalistes Européens / section française

    contact@ajefrance.com

    Mr Francesco CRISAFULLI Co-agent de la Cour Européenne des Droits de l’Homme

    francesco.crisafulli@esteri.it

    Mr Sandro SIGGIA Ambassade italienne à Bruxelles

    segreteria.bruxelles@esteri.it
    ambbruxelles@esteri.it

    Mr POPONCINI Vice Consul de l’Ambassade Italienne à Mons (Belgique)

    segreteria.mons@esteri.it

    Mr FRATTINI Ministre des Affaires Etrangères en Italie

    segreteria.frattini@esteri.it

    Ministère des Affaires Etrangères, Autorité Centrale italienne (Italie)

    dgit4@esteri.it

    Mme Valeria PROCACCINI Ministero della giustizia; Dipartimento minorile (Italie)

    autoritacentrali.dgm@giustizia.it

    Mr Italo ORMANNI Capo del dipartimento per
    Gli affari di giustizia (Italie)

    segrpart.dag@giustizia.it

    Mr Pietro MARTELLO Vice capo dipartimento per gli Affari di giustizia (Italia)

    vicecapodipartimento.dag@giustiziacert.it

    Mr Giovanni Paolo NUVOLI Direzione generale del contenzioso e dei diritti umani (Ministero della Giustizia italiana)

    giovannipaolo.nuvoli@giustizia.it

    Mme Maria Teresa SARAGNANO Direttore generale della Giustizia civile (Italie)

    segreteria.dgcivile.dag@giustizia.it

     



     


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    ACTION DE SOLIDARITE POUR AIDER FIONA ET MILLA

    Bonjour,

     

    Je suis Maria-Pia MAOLONI, maman de Fiona (10 ans) et Milla (6ans).

    Cela fait plus de 1020 jours que je n’ai plus de nouvelles de mes enfants depuis le 19 mai 2007, jour de leur rapatriement ILLEGAL en Belgique (selon la décision de la Cour de Cassation à Rome, juin 2008) et confiées à leur père et grand-père pédophiles.

    A ce jour, je n’ai AUCUNE réponse sur le devenir de mes enfants de la part des institutions belges. Je ne sais pas où elles se trouvent exactement et comment vont-elles, depuis déjà plus de deux ans et demi!

    C’est pourquoi, je m’adresse à vous pour vous demander de participer, si vous le souhaitez à une action dite de « solidarité» dans le but que les institutions se mobilisent et m’apportent des informations concrètes sur la situation de Fiona et Milla.

    Le principe est simple, il faut envoyer le 8 de chaque mois une lettre déjà rédigée (juste à faire un copier-coller du modèle de lettre ci-dessous) à toutes les institutions nommées ci-dessous.

    Plus nous serons nombreux à nous joindre à cette action, plus vous m’aiderez à savoir comment se portent Fiona et Milla et, également dans ma démarche de revoir mes petites filles au plus vite.

    Pourriez-vous me confirmer votre participation sur mon adresse email (mariapia@live.fr)?

    L’union fait la force, dit-on! En tant que citoyen, nous devons réunir notre énergie pour lutter contre la violence sur nos enfants. Le silence et l’indifférence sont COMPLICES des actes criminels infligés sur mes enfants.

    Je vous remercie pour vos démarches qui représentent, à mes yeux, l’espoir que des valeurs d’humanité et de respect pour la vie existent encore chez certaines personnes qui ont le courage de les défendre.

    Au nom de Fiona et Milla, je vous remercie infiniment,
    Maria-Pia MAOLONI,
    Maman de Fiona et Milla
    « sauver un enfant, c’est sauver l’humanité entière »
    http://sauvons-fiona-et-milla.blogspot.com
    http://salvarefionaemilla.blogspot.com

    MODELE DE LETTRE A ENVOYER:

    J’ai pris connaissance de l’histoire de Mme Maria-Pia MAOLONI et de ses petites filles Fiona et Milla ANTONINI sur Internet.

    Je suis stupéfait(e) d’apprendre que ces 2 petites filles enlevées en Italie, sont, à ce jour, séquestrées en Belgique par leur famille paternelle, suspectée d’abus sexuels sur celles-ci.

    Leur maman, Maria Pia MAOLONI, n’a plus de nouvelles depuis plus de 1020 jours.

    De plus, la famille maternelle qui réside en Belgique ne peut avoir contact avec Fiona et Milla.

    Je dois vous dire que j’ai du mal à comprendre pourquoi Fiona et Milla sont aussi bien privées de contact avec leur maman et avec leur famille maternelle depuis autant de temps.

    J’ose espérer que vous pourrez m’éclairer sur la question.
    Cordialement,

    NOM et PRENOM

     

    ADRESSES DES DESTINATAIRES POUR ENVOYER LA LETTRE:

    DIRECTION FONCTION ADRESSE EMAIL

    Mr BENSAIDA TAOUFIK Directeur de l’aide à jeunesse et du service de protection judiciaire de Mons (Belgique)

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    Mr DE VOS Bernard Délégué général des droits et des intérets des enfants (Belgique)
    dgde@cfwb.be

    Mme KLOECK Kristine Directeur général de Child Focus (Belgique)
    110@childfocus.org 

    Mr BARROT Jacques Vice Président de la Commission Européenne
    jacques.barrot@ec.europa.eu

    Mr DECLERCK Stefaan Ministre de la Justice (Belgique)
    stefaan.declerck@just.fgov.be

    Mme LAMBOT Laetitia Secrétariat de la Commission de la Déontologie, Direction générale de l’Aide à la jeunesse (Belgique)
    laetitia.lambot@cfwb.be

    Mme ONKELINX Laurette Vice-Première Ministre et Ministre des Affaires sociales et de la Santé (Belgique)
    info@laurette-onkelinx.be 

    Mr MELCHIOR Wathelet adjoint au Premier Ministre et Secrétaire d’Etat à la Politique des familles
    info@wathelet.fed.be

    Mr DE GUCHT Karel Vice-Premier ministre et Ministre des Affaires étrangères
     info@diplobel.fed.be

    Mme Navanethem Pillay Haut-Commissaire aux Droits de l’Homme
    infodesk@ohchr.org 

    UNICEF
    cbu@unicef.be 
    brussels@unicef.org

    AMNESTY INTERNATIONAL
    amnestynews@amnesty.fr 
    webmestre@amnesty.fr

    MEDIATEUR EUROPEEN
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    Mme Dominique ROZENBERG Direction de la Ligue des Droits de l’Homme (Belgique)
    drozenberg@liguedh.be 
    ldh@liguedh.be

    Mr JUAN MIGUEL PETIT Rapporteur du respect des droits de l’enfant contre l’exploitation sexuelle et la pédo-criminalité
    urgent-action@ohchr.org 
    tb-petitions@ohchr.org 
    1503@ohchr.org

     

    Mr Hans-Gert Pöttering Président du Parlement Européen

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    Mr Jean GAUTIER Direction générale des affaires Consulaires; Ministère des Affaires Etrangères

    jean.gautier@diplobel.fed.be

    Mr Andrew DRZEMCZEWSKI Commission des questions juridiques et des droits de l’homme de l’Assemblée Parlementaire

    andrew.drzemczewski@coe.int

     

    Mr P. Nikiforos DIAMANDOUROS Médiateur Européen

    eo@ombudsman.europa.eu

    Secrétariat Conseil des Barreaux Européens

    cdcj@coe.int


    Mme Josiane PAUL Chef de service de la Direction générale
    De la Législation et des Libertés et Droits
    Fondamentaux; Autorité centrale
    d’entraide judiciare Internazionale
    en matière civile

    rapt-parental@just.fgov.be 
    kinderontvoering@just.fgov.be

    Mr Luis MORENO-OCAMPO Procureur de la Cour Pénale Internationale

    otp.informationdesk@icc-cpi.int

    AJE, Association des journalistes Européens / section française

    contact@ajefrance.com

    Mr Francesco CRISAFULLI Co-agent de la Cour Européenne des Droits de l’Homme

    francesco.crisafulli@esteri.it

    Mr Sandro SIGGIA Ambassade italienne à Bruxelles

    segreteria.bruxelles@esteri.it
    ambbruxelles@esteri.it

     

    Mr POPONCINI Vice Consul de l’Ambassade Italienne à Mons (Belgique)

    segreteria.mons@esteri.it

    Mr FRATTINI Ministre des Affaires Etrangères en Italie

    segreteria.frattini@esteri.it

    Ministère des Affaires Etrangères, Autorité Centrale italienne (Italie)

    dgit4@esteri.it

    Mme Valeria PROCACCINI Ministero della giustizia; Dipartimento minorile (Italie)

    autoritacentrali.dgm@giustizia.it

    Mr Italo ORMANNI Capo del dipartimento per
    Gli affari di giustizia (Italie)

    segrpart.dag@giustizia.it

     

    Mr Pietro MARTELLO Vice capo dipartimento per gli Affari di giustizia (Italia)

    vicecapodipartimento.dag@giustiziacert.it

    Mr Giovanni Paolo NUVOLI Direzione generale del contenzioso e dei diritti umani (Ministero della Giustizia italiana)

    giovannipaolo.nuvoli@giustizia.it 

    Mme Maria Teresa SARAGNANO Direttore generale della Giustizia civile (Italie)

    segreteria.dgcivile.dag@giustizia.it

     

     






     


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    Il y a seulement quelques mois , la plus grande opération anti pédophiles sur Internet venait de se conclure.

    170 personnes arrêtées, 14 enfants sauvés.

     

    Tout a commencé en Australie, dans le Queensland, en 2006. La police découvre, par hasard, une vidéo sexuellement explicite montrant une jeune fille. L’enquête locale va se transformer en une des plus grandes opération anti pédophile de la planète. Une opération d’abord baptisée Koala, puis Joint Hammer.

    Cette action va permettre de sauver 14 jeunes filles, dont certains étaient âgées d’à peine 3 ans. Environ 170 personnes ont été arrêtées de part le monde, plus de 60 étaient originaire des Etats-Unis d’Amérique. Sept réseaux dédiés à la pédo-pornographe, des Rings, ont été démantelés. « Et l’enquête est loin d’être terminée » confirme le service presse du Federal Bureau of Investigation(FBI).

    Cette action d’envergure a été montée en partenariat avec le Department of Justice (DOJ), l’United States Postal Inspection Service (USPIS), l’U.S. Immigration and Customs Enforcement (ICE), la police Belge, Europol, …

     

     

    Cyber chasseurs en marche


    Tout a donc débuté avec les Autorités du Queensland. La vidéo qu’ils vont découvrir va être ciblée grâce aux langages des personnes filmées. Un dialogue en flamand qui va permettre de remonter la trace du pédophile, un belge. La police de la FCCU, Federal Cyber Crime Unit, va identifier et arrêter l’agresseur. Ce dernier va rapidement fournir sa source, un administrateur italien d’un ring pédo-pornographique. La Guardia di Finanza va mettre la main sur ce webmasteur et faire fermer son site Internet. 50,000 e-mails vont être saisis.

     

     

     

     

    Des courriers électroniques qui vont servir d’ossature à l’opération Joint Hammer. Europol va se cherche de traquer les pédophiles via 28 pays européens, dont la France, l’Espagne, l’Italie, l’Allemagne, … Parmi les courriels, 11,000 ont été ciblés aux USA. 700 personnes ont été surveillées à partir de cette base de données. Une surveillance mise en place, sur le sol de l’Oncle Sam, par le FBI, l’USPIS et ICE.

    L’enquête est toujours en cours, mais les principaux prédateurs sexuels considérés comme très dangereux ont été arrêtés. L’un d’eux, un américain du New-Jersey, qui caché dans son ordinateur pas moins de 130,000 images d’enfants. Il en produisait aussi avec sa fille de 9 ans.

     

    Il a été condamné à près de 20 ans de prison.

     

     

     

     


     


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    En jargon judiciaire et en néerlandais, cela s’appelle l‘ »AIBV », à savoir la « section de mesures de sécurité individuelles particulières ». En français, cela pourrait s’appeler un QHS, quartier de haute sécurité. Pour les prisonniers qui y séjournent en Belgique, l’endroit porte un nom plus simple :« Guantanamo ».

    Le témoignage d’un jeune prisonnier de Bruges, en Flandre, sur sa vie dans ce type de quartiers souterrains illustre, en tout cas, de manière brutale une pratique que peu de Belges connaissaient et dont la conformité aux droits de l’homme est, au moins, douteuse. Ashraf Sekkaki, 25 ans, est ce qu’on peut appeler une forte tête. Décrit comme très brutal, il a à son actif une dizaine d’attaques de banques et plusieurs actes de violence. Il avait 16 ans quand un juge de la jeunesse s’est dessaisi de son dossier. Depuis, il n’a quitté qu’une fois la prison lors d’une cavale qui a duré cinq mois, en 2003.

    Dans des lettres au quotidien De Morgen – qu’il a fait sortir en violation des règlements -, le jeune homme se défend d’avoir jamais utilisé une arme. Mais son comportement, ses menaces et son obstination ont justifié son inscription sur la liste des détenus les plus dangereux du royaume. Il est, depuis juin 2008, l’un des pensionnaires de l’AIBV de Bruges. Cette section que l’on atteint, selon des avocats, après avoir déambulé dans des couloirs longs d’un kilomètre et entrecoupés de points de contrôle, a été créée il y a près d’un an. Ce projet du ministre de la justice, Jo Vandeurzen, chrétien démocrate flamand, se voulait une réponse à l’évasion d’un autre truand célèbre. Et s’ajoutait au« régime extra » déjà en vigueur et réservé aux auteurs de faits graves. L’AIBV compte 10 cellules – dont 6 sont actuellement occupées – et 31 gardiens. Elle aurait un équivalent à la prison wallonne de Lantin, près de Liège.

    Dans ses lettres, Ashraf Sekkaki énumère les conditions de sa détention : pas de contact avec l’extérieur, pas de courrier – pas même pour les cours qu’il suit -, pas de visites sauf celle, strictement réglementée et surveillée, de son avocat. Il dit devoir subir deux fouilles corporelles approfondies chaque jour, ainsi qu’une fouille de la cellule, un isolement complet de 23 heures sur 24 avec une « promenade » autorisée dans une sorte de cage grillagée, menottes aux poignets et aux chevilles. Le chauffage n’est pas allumé avant la fin du mois d’octobre. « Je me sens comme dans un laboratoire où l’on voudrait tester jusqu’où l’on peut aller », a expliqué le jeune truand.

    Exagération ? « Non, il dit la vérité », affirme Me Nathalie Buisseret, avocate de Farid Bamouhammad, un autre locataire de la prison de Bruges, voisin d’Ashraf Sekkaki. Un autre avocat,Sven Mary, décrit une situation « pire que l’enfer, hallucinante » où l’on refuserait jusqu’à une brosse à dents ou des médicaments aux détenus. Me Mary entend lancer prochainement une citation contre l’Etat belge. De son côté, le ministre de la justice s’est dit « abasourdi » non pas par le contenu des informations diffusées mais par la « mauvaise foi » et « l’éloignement par rapport à la réalité » du témoignage. Pour M. Vandeurzen, l’expérience de l’AIBV est concluante et l’attitude des détenus à l’égard du personnel s’est améliorée.

    L’instauration de tels quartiers n’est pas formellement interdite par la loi belge, d’ailleurs assez floue et appliquée par une administration qui jouit d’une grande marge de manoeuvre. La section belge de l’Observatoire international des prisons dénonce, elle, le fait qu’à la privation de liberté s’ajoute une « deuxième peine », assortie de mesures de contrainte particulières. Et cela alors que la Belgique enfreindrait déjà la Convention internationale des droits de l’homme et les recommandations du Conseil de l’Europe, notamment par la surpopulation carcérale. Le royaume compte quelque 10 000 détenus pour 8 300 places disponibles dans ses 33 prisons.

    En ce qui concerne la prison de turnhout et la détention abusive de notre ami et collaborateur Monsieur Marcel VERVLOESEM , nous devons préciser également que l’inapplication de l’article 72 de la loi d’application des peines est l’expression d’une volonté politique de nuire aux droits élémentaires de ce prisonnier politique particulièrement dangereux non pas pour la société mais pour les réseaux pédophiles qu’il dénonce par le biais d’un laxisme probant et volontaire du PSD.


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    J’amène mon fils au CHR de Bordeaux, l’œil abîmé, une bosse sur le front. Son père me dit qu’il est tombé du toboggan au parc bordelais. Son demi-frère, Pierre-Alexandre, était avec eux, pendant que je travaillais. Les médecins n’ont rien dit. J’ai cru à cette version sur le moment, mais je pense que mon fils a été battu et à partir de ce jour, je ne l’ai plus laissé seul avec son Père. De plus sur la table de salon, un drôle de yoyo est posé. Dés années plus tard, je saurais ce que sais.

    Nous prennons nos vacances à Pezenas au mois d’août. La maman de Pierre-Alexandre, qui était venue à Bordeaux voir un industriel, passe à Pezenas, mais je ne la vois pas. Ma soeur me dit au téléphonne de faire attention à mes verres.

    Tout va comme ça peut aller, jusqu’à ce que mon fils découvre une petite pipe avec de la poudre blanche. Résultat de la découverte: mon mari infidèle revient avec de ses amis que je ne connais pas, qui me tabassent en présence de notre fils. Il léve son majeur et me dit:- Je t’ai détesté, méprisé, je te haïs. J’ai l’oreille interne détruite, des hématomes sur tout le corps. Je suis en incapacité de travail durant un mois. Je demande le divorce avant la fin du mois d’août.

    A la rentrée des classe de la petite maternelle de Bordeaux, je consulte les dessins de mon fils avec la directrice. Ce ne sont que des hommes, dont il dessine le sexe d’un trait. Une semaine aprés, l’école sera cambriolée… et les dessins de mon fils ont disparu. La semaine suivante, Alain viendra consulter le dossier… vide !

    Je ne dois rien posséder et me détacher de tout. Je dois être pauvre. Je n’existe pas, plus. Alain fait croire que je le bat, qu’il a peur de moi, il me vouvoie et arrive devant des magistrats l’air trés humble.La plainte à l’encontre des agresseurs sera classée… sans suites. Les magistrats écriront :- « Qui prouve que Madame Poupard ne se serait pas agressé elle même ? »

    NO COMMENT.


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